En fin d'après-midi, un surveillant est venu mettre la clef dans la serrure et rouvrir la porte de la salle peinture. J'ai salué Jean-Claude, il m'a encore dit deux, trois mots. Et je suis parti. A nouveau les couloirs, les portes, le bureau des SPIP pour déposer le matériel qui n'avait servi à rien. Maintenant, j'avais hâte de retrouver l'extérieur, de respirer à plein poumon...